Un horizon de Ténébres

[Thème musicaux : Four Ton Mantis d'Amon Tobin]

Boum, Boum.

Au loin, le tambour se fait soudain attendre. Retentissant, il annonçait le début d'un jour des plus sublimes, celui qui déclarait enfin le commencement des hostilités. Au loin, un nuage épais se formaient. Non pas un nuage, un brouillard de poussières soulevaient par des centaines de pas suivants le rythme du battant. Au loin, seul le tambour et les pas se font attendre, le silence y régnait alors que la guerre fut dans tout les esprits. De longs mois sans carnage grandiose, sans grande bataille.

Lourds furent les pas, et la terre se mit à trembler aussi de leur côté. Les railleries débutaient, simplement par celui d'un anodin, puis le clan du Loup se mit à hurler brutalement, une joie immense émanait de leur voies disgracieuses. "La guerre, La guerre" crachaient-ils dans le vent, et le vent amplifiaient leur cris. Des rangs désorganisés et des apparences excentriques dissimulant des armures en cuir rigide corrompu, des armes des quatres coins du monde. Ne croyez pas pour autant qu'il s'agit de simples brutes ou de faibles diablotins. Au contraire, tout ce contraste avec l'armée des succubes et incubes fut une provocation destinés aux Combattant de la Cité. Ils s'étaient tous habillés en tenues de cérémonie belliqueuse, un petit confort pour une meilleure performance.

Néanmoins, avant l'arrivée de cette armée, n'avez-vous pas ressenti qu'une seule présence? Beaucoup plus discrêt et beaucoup plus modeste, il avait devancé ses fidèles pour venir se présenter à son alliée démoniaque. Cependant il s'était arrété, le temps que son clan forma un ligne d'horizon poussièreuse, disparaissant sous cette arrivée fracassante.

Une trentaine de secondes puis ce n'est plus que le sol qui était terrorisé mais l'air autours de sa présence frisonnaient de terreur.Tyran du vent, le Loup est arrivé sur les fronts d'Elament. Un petite mais violent bourrasque carressa les pieds des démons et une silhouette apparue, fendant le ciel, survolant la scène.

Attendez... Ô le fou, sa direction indiquait le grand cheval pourpre qui subissait le poids de la maîtresse des succubes et des incubes aux Royaume d'Apharez. Le sifflet de son envol parvint aux oreilles tandis qu'il parvenait au-dessus de la démone...

BOUM.

Le corps plongea dans le vide, et vint percuter le sol avec violence, formant alors un cratère dans la roche sous le souffle du vent saillant autours du Loup. Le choc avait soulevé une masse d'air conséquente et lorsqu'elle se dissipa entre les jambes des démons, le Loup planait, vacillant dans le demi-mètre au-dessus des monts pour mettre son regard malveillant bicolores à hauteur de celui d'Alouqua. A Alouqua, sa tenue fut digne d'un général d'armée, ce qu'était d'ailleurs sa mère. Quant à Kaho Long, on ne pouvait pas vraiment dire qu'il s'était préparé à la Bataille...Son seul vêtement fut un large pantalon. Trop sûre de son pouvoir? Autours de son pouvoir, ondulait une vague d'air qui l'assurait la survie en cas d'attaque pas sérieuse. Et puis son large et haut tronc, son torse bombé par l'effort, ses muscles hypertrophiés constituait à eux seuls, une armure efficace bien meilleur que celle de Tsubo Namu.

La Tanière, quant à elle fut bien bruyante et malgré sa réputation, il ne préférait pas leur demander de se taire et d'arréter de faire vibrer les cors et les tambours, l'ambiance devait être respecté. Quant aux incubes et succubes, ils l'étaient autant que le Clan du Loup. L'elfe noir d'apparences avait besoin de discuter sans avoir la prétention de faire de long discours amicaux avec le commandant du Front du Nord d'Elament. Trop de parasites bruyant dans ses oreilles d'Aéras...

"Silence!" murmura-t-il tandis qu'il regroupait ses mains. Un dôme de silence se forma alors englobant Kaho Long et Alouqua, rendant tout ceux qui fut à l'intérieur, imperméable aux bruits de l'extérieur. Bien sûr, si l'un des sous-fifre de la belle succube vampire devait à rentrer dans ce périmétre pour parler à sa maîtresse, alors il le pouvait. Il n'espérait plus qu'une chose, ce fut qu'elle appréciait ce changement soudain d'atmosphère. Impatient, les bras croisés, il plongea son regard rouge uniquement dans celui d'Alouqua, ne désirant pas connaître ses pensées simplement par esprit de jeu. Son ton trahissait son orgueil ainsi qu'une pointe de dédain à l'égard de la succube provoqué par une ironie cinglante.

"Mademoiselle Alouqua... mes salutations qu'elles soient profondes ou pas. Je me nomme Kaho Long, chef de la Tanière! Partageriez-vous un peu de votre chevauchée sur la Cité...le temps pour mon clan de se mettre en jambes?"

Que la réponse soit positive ou négative peu importe. C'était juste une petite invitation à commence le bal sous la partition du Carnage. Et puis, si la réponse était négative, comme punition il...non, son clan devancera légerement son armée sur le champ de bataille, juste pour enlever tout le plaisir d'une bataille à sa petite (tout est relatif!!) armée.

Les pierres crépitaient, la terre était remuée et les motifs dessinés sur la sable pour redonner courage aux guerriers s’estompaient peu à peu, Ryder se trouvait aux portes d’Elament, une troupe de combattants, à ses ordres. Lui-même suivait ceux d’un homme aisé, lâche, trop visiblement, celui qui l’avait embauché, Ryder le détestait, le méprisait et le haissait, son propre mentor d’ailleurs, qu’il égorgerait à son retour, de l’argent et tout est fini, pauvre humain, loin de la réalité, et loin du front. Il avait tenu à lui offrir les services de quelques hommes, au cas où, si Ryder venait à faillir à sa tâche, quel idiot, un cadeau de la maison avait-il dit ! Peut-être avait-il raison, posté devant la grande muraille, entendant hurler les derniers civils cherchant encore un abris, observant les soldats impassibles mais transits de peur à l’idée que derrière ces portes, se terrent des démons, d’horribles bêtes, Ryder courait vers la muraille près de la gigantesque entrée accompagnée de sa stupide escorte et d’un bond l’escalada. En prenant appui sur tous les rebords présents et les briques qui cédaient déjà avant même d’avoir subi leur jugement, il arriva en haut du barrage : un affreux spectacle s’offrit à lui, une horde de combattant attendait au loin, un ordre, un mot une parole, avant qu’Elament ne soit détruite à jamais. C’est inouï, stupéfiant ! surtout qu’en comparant les guerriers de la cité et ces monstres, le constat était alarmant ! enfin qu’importe, il va s’amuser aujourd’hui ! du sang va couler, des têtes vont tomber, des corps vont s’écraser… Mais ? Que voyait-il ? Ryder s’abaissa pour voir un peu mieux, sa vue étant obscurcie par la couleur des vêtements de ces sauvages, un noir méchant, prenant, frappant, agressant la rétine, il vit un rouge, un rouge et une tâche de noir, plus grosse que les autres. Une étrange sensation l’interrompit dans ses songes, serait-ce …? Celle qui l’a blessée, celle qui l’a transformé en tueur, elle, oui, c’était Alouqua. Curieusement, il fut heureux de la voir, une présence féminine dans ces rangs terrorisés, il fut presque apaisé de la savoir parmi les troupes ennemies, enfin, Ryder ne savait point dans quel camp se faufiler, d’un côté il était las des Humains et d’un autre côté, il appréciait les démons et était rancunier envers certains mais c’est du passé après tout, ses parents, si les démons ne les avaient pas tués, il l’aurait fait lui-même.
Ces pensées attirèrent son attention, quelque chose se développait, toujours grandissant, un puissance s’amplifiait en lui, transformant ses goûts, altérant sa façon d’agir, dénaturant ses envies, il tenait à entendre les gémissements de ses victimes en tuant n’importe qui ; devant choisir un bras, et prenant les deux, tuant les méchants, et les gentils qu’il n’affectionnait guère, oui, cette théorie lui plut, Ryder trouvera sa voie aujourd’hui, il choisira son camp.
Cette tâche sombre qu’il avait remarquée tout à l’heure semblait s’exprimer et échanger une conversation avec sa rivale, de toute façon l’ayant connue, elle ne s’alliera certainement pas avec un homme de sa trempe, bien trop noir à son goût. Un élan d’ineptie le parcourut, il ne savait rien de lui, dans ce cas allons le découvrir, avait-il envisagé.

Mais d’abord, un petit problème à régler : en effet les soldats rabougris le scrutaient avec leur expressions de crétins incultes, ne sachant pas de quelle manière ils allaient le rejoindre, mieux valait les faire disparaître, quitte à réescalader le mur de pierre, au moins cela sera un échauffement, un avant-goût de ce qu’il l’attendait… Il s’esclaffa, il espérait qu’il ne se trompait pas en se disant que les démons à l’extérieur seraient bien plus consistants que ces êtres imbéciles. Ryder s’élança au dessus des toits qui jonchaient la cité et atterrit sur l’un d’entre eux, l’un trop faible pour comprendre qu’un allié s’en prenne a eux, se contenta d’attendre que son camarade se relève… Il n’en aura pas le temps, Mizuka posa la paume de sa main sur son front et avec l’air, son élément, il fit imploser son crâne qui vola en éclat, le vent, aussi tranchant qu’une lame. Son corps tomba, inerte puis il sortit son épée afin d’achever le pauvre encore à terre, il périt avec un gémissement puis faucha les 6 autres encore ébahis par ce tour violent et mesquin. Les quelques survivants se limitaient à de simples hurlements. Ryder avait peu bougé mais ces attaques lui faisaient dépenser beaucoup d’énergie, malgré les envies meurtrières qui l’animaient. Les écriteaux dessinés par les enfants sur le sable étaient maintenant souillé du sang de ceux qu’ils voulaient encourager, quelle ironie ! enfin ….
Ryder remonta avec peine sur la muraille et prit place le temps d’étudier ceux qui allaient se dresser face à Elament, il remarqua que leur armée était très bien organisée :

- Il est temps de s’amuser… très chère, nous n’avons pas encore achevé notre brève discussion …

Les démons ne se lassaient jamais. Même le temps ne tarit par leurs désirs et lorsque occasion se fait attendre, ils n'hésitaient pas à sauter dessus. Leur plaisir était souvent palpable que ce soit par des frissonnements ou un simple sourire. Cependant lorsqu'il s'agit du Loup, allié des démons et tyran du vent, c'était tout son pouvoir qui frisonnait de désirs et il ne pouvait alors s’empêcher de délivrer sa magie de son excitation. C'était pour cela qu'il venait de faire tout ce cirque, il s'amusait à sa manière lui aussi et toute les façons sont bonnes à prendre, que ce soit physiques ou psychologiques, que ce soit pure brutalité ou réflexions approfondies. Pour apprécier les plaisirs, il fallait savoir les varier.

Lorsque la jeune succube descendit de son trône animalier, Kaho Long cessa de planer et se déposa délicatement sur le sol. Vint les paroles d'Alouqua puis avant d'y réflechir, il se fit une veste de gaz, un voile continu translucide couvrant son torse comme le ferait un Cirrostratus dans le ciel. Malgré ce sortilège qu'il produisit du bout des doigts, il ne cessa pas une seule fois de scruter le visage de la démone de son œil droit écarlate. Son corps ne l'intéressait pas, malgré la perfection des courbes, il avait vu bien plus pu beau dans sa vie et avait dévorer des corps plus délicieux. D'ailleurs elle infestait la pourriture comme un cadavre, odeur d'une vampire. Mais peu importe, revenons à la discussion.

Kaho Long venait de comprendre plusieurs choses importantes de son interlocutrice. Premièrement, elle était encore jeune, rempli de fougue peu enclin à la demi-mesure et aux compromis. Deuxièmement, elle était comme une assoiffée face à une fontaine, un infant face à son premier festin. Troisièmement, la conversation ne durerait pas puisqu'elle camperait sur sa position et répondra à chaque réplique de Kaho Long par une autre qu'elle s'efforcera d'être plus cinglante. Conversation longue et futile, alors qu'une grand bataille les attendait. Et puis, il avait autres choses à faire que de parler à une gamine capricieuse et orgueilleuse.

"Désenchantement!" murmura-t-il et la joute de silence céda, se dissipa. Il se détourna vers son armée avec une droiture exemplaire, gonfla sa poitrine, emmagasinant assez d'air, puis sa parole vint, tonitruante et solennelle, transcenda l'espace pour parvenir aux oreilles de la Tanière, ou du moins ceux qui étaient là, les démons mineurs du clan, la partie inférieure de la Tanière, la Section "Première ligne" commandée par l'immense plantia, Tsubo la Brute, d'une effroyable bétise mais d'une force brute immense mais non maîtrisée, une sorte de bélier incontrôlable, défonçant les lignées avec une sauvagerie délirante. C'était la première force de frappe de la Tanière, les démons que l'on peut définir comme étant la chair à canons du Clan du Loup. Deux cents en tout.

"Tsubo, déclenchement. Première ligne, en avant!"

La marche bruyante soutenue par le fracas des haches et des massues contre le sol, reprit de plus belle. Arrivant à distance de la muraille d'Elament, équivalente à celle de l'armée des succubes et des incubes. Et tandis que l'animation faisant trembler la terre et vibrer l'air sous le son des cris barbares, des cors et des tambours, Kaho Long glissa sur le sol à reculons transporté par le vent, s'échappant vers d'autres fronts, tout en restant face à la succube.

"Je prédis votre perte, démone d'Apharez! Vivez cette bataille comme si c'était le dernier contre Elament. Adieu!...Tsubo je te laisse ce front, adieu mon fidèle plantia, amuse-toi bien!"

Ce fut avec un large sourire, un regard cynique et froid qu'il acheva ses paroles. Puis il se figea, l'air convergea vers lui troublant l'espace jusqu'à ne faire plus qu'une sphère de vent concentré. Kaho Long posa les mains dessus, détraqua la circulation sphérique de l'air à l'intérieur de la boule, ce qui eut pour effet de faire jaillir avec une grande intensité de l'air sur son ventre ce qui le fit propulser avec une fulgurante vitesse au loin en direction de la Porte de la cité, laissant sur son passage une large traînée de poussière.

[Front Nord Entrée de la cité]

Avez-vous déjà ressenti ce malaise, de se sentir observé, pris au piège ? Non ? Mais vous savez, lorsque vous enfreignez une loi, que vous n'en dormez plus la nuit, que vous jetez des coups d'oeil partout en craignant les représailles, c'était cette impression-là que donné l'oeil incarnat de son interlocuteur, le Loup, Kaho Long. Mais Alouqua, ignorant le remord, ignora ce regard de même, constatant simplement le pouvoir aera qu'il possèdait. Ces sortilège ne semblaient pas le fatiguer outre mesure, alors que certains seraient déjà tombés à terre.

D'abord, Kaho Long dissipa la bulle de silence au-dessus d'eux, et les rires, les cris, ou plutôt les braillements, et les discussions sans intêret furent à nouveau audibles pour les délicates oreilles de la succube, que cette joie et cette candeur amusaient. Ensuite, de sa voix qui forçait au respect et à l'obéissance, il ordonna à un dénommé Tsubo de partir à l'attaque... Alouqua voyait bien que cette première attaque serait brutale, et que les démons qui constituaient cette première ligne, leur chef en premier, n'étaient pas des lumières, mais des brutes sans cervelles. Un troupeau envoyé à l'abattoir, la chair à canon de l'armée de la Tanière. Une troupe d'imbécile facile à dompter pour des succubes. Ils ne la géneraient pas dans son plan, conclut-elle.

Remontant sur son cheval, et faisant signe à son messager d'approcher, elle repondit aux paroles de ce maudit Long, même s'il ne pouvait déjà plus l'entendre :

"Le glas pour moi ne sonnera pas tant que je le déciderai ! Mais je viendrai déposer des plantes sur ta tombe, je te le promet Kaho Long !"

Ainsi fini sa rencontre avec le chef de la Tanière, Kaho Long. Son avis à son sujet n'était pas très positif, mais de toute manière, il n'y avait que peu de personne qu'elle estimait véritablement, Apharez, parce qu'elle une succube et qu'elle était reine, Iblîs parce qu'il avait autrefois connu sa mère Lilith. Maintenant, Alouqua allait lancer l'offensive. Mais avant cela, il fallait qu'elle retienne ces brutes. Pfiou, un jeu d'enfant pour une succube. Alouqua chuchota à l'oreille de son messager, après avoir fait glisser sur son visage le visière de son casque, ne laissant plus apparaître que ses lèvres violettes.

"Zithô... Va prévenir les succubes que l'on va bientôt commencer... Et dit aux autres incubes de patienter encore un peu ! Mais reviens vite !"

Zithô, un peu surpris, retourna sa monture, et se dirigea vers la droite de l'armée, là où se trouvait les succubes. Le messager s'approchant des succubes dut bien se contenir pour resister aux charmes des divines créatures, mais, étant un incube, il était habitué à ces plaisirs divins. Il glissa quelques mots à l'oreille d'une succube, qui les retransmit à ses voisines, qui les retransmirent à leurs voisines, etc. Bientôt, les succubes semblaient toute excitées, riant de plus belle, jouant avec leurs armes, se délectant de leur rôle dans le lancement de la bataille. Zithô se dirigea alors vers la partie gauche de l'armée. Les incubes brandissaient leurs armes et juraient, crachaient, sifflaient la cité d'Elament et ses gardiens !

Maintenant, continuons. Alouqua se tourna vers les succubes, et d'un geste, leur intima le silence. Les succubes, obésissant à leur supérieure, se turent, et écoutèrent le suite :

"Succubes ! Il est temps pour vous de jouer de vos charmes et des délices de vos corps pour amadouer les barbares d'Elament ! Approchez vous, montez en haut de cette colline là-bas, et dansez, mes soeurs, chantez, succubes, et envoûtaient les faibles créatures de cette planète, pour que, lors de l'attaque, ils aiment leurs ennemis ! Allez tentatrices, allez rependre le désirs entre ces murs ! Et au nom de la Reine des Enfers Apharez Sycan, je declare la Guerre d'Elament ouverte !"

Tout en riant, les succubes s'élancèrentavec légéreté vers la dite colline. Là-haut, certaines commencèrent à élever la voix, rivalisant avec les sirènes, et d'autres se trémousaient, mettant en valeur leurs courbes parfaites. Déjà, depuis les murailles d'Elament, on pouvait entendre le silence neuf, né e l'attention nouvelle des querriers pour cette douce mélopée, e ce sublime spectacle. Alouqua en eut un sourire sadique, pensant aux combattants qui ne compendront pas leur mort, et aux autres qui, comprenant ce stratagème, fuiraient. Délicieux.